Pour bien commencer l’année, on va s’offrir une perle rare, un bijou musical : Ewan Dobson.
Pourquoi lui ?
La réponse est bien plus éloquente en musique ET en image :
Lien : Times 2 - video
(visité le 4 janvier 2013)
L’impression formule ses mots :
prouesse technique, compositions aux styles variés et accrocheuses, Ewan Dobson est un virtuose de la guitare.
D’où lui vient ce talent ? Inné, acquis ?? Qui est-il ?
Ewan Dobson est né en 1981 au Canada. En 1993, on lui diagnostique : troubles du déficit de l’attention avec hyperactivité, troubles obsessionnels compulsifs et léger syndrôme de Tourette. Loin d’être une fatalité, bien au contraire, le résultat à la guitare semble démontré que cet instrument a joué un formidable canalisateur de performance : le désavantage devient alors un atout.
Ewan travaille sous la tutelle de Dr Alvin Tung pendant 6 ans. Il aborde alors une formation classique, néanmoins sa première guitare est électrique. Il joue du métal, du hard rock, étend son répertoire à de multiples styles : bluegrass, folk canadien, techno, trance, musique de jeux vidéo, fingerstyle contemporain, qui influencent tangiblement ses compositions éclectiques.
De petits concours canadiens au national, Ewan rafle les prix et commence à se faire connaître. Grâce à ses tournées, il aborde enfin le public européen en 2012 (seulement).
Pour se réconforter, les performances d’Ewan Dobson sont largement disponibles sur Internet, qui reste sa meilleure façon de communiquer : des millions visualisations de ses « clips » sur les sites d’écoute.
Certes, ses tenues et ses décors ne nous laissent pas indifférents…mais notre attention s’attache rapidement à ses doigts, comme le montre cette interprétation du «Caprice n°5» de Paganini (1782-1840, violoniste virtuose, altiste, guitariste et compositeur italien); tout simplement époustouflant :
Lien : Caprice n°5 de Niccolo Paganini, interprêté par Ewan Dobson - video
(visité le 4 janvier 2013)
En plus d’Internet, Ewan Dobson a sorti des albums avec et sans Label :
- Guitar (2007)
- The Red Army Love Potion (2008)
- Healthy Obsession (2009)
- I (2009 - Candyrat Records)
- II (2010 - Candyrat Records)
- III (2012 - Candyrat Records)
- World Candies (2012)
- Acoustic Metal (2013 - Candyrat Records)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Qu’on aime la guitare classique ou non, notre fascination s’accroche très facilement à une interprétation d’Ewan Dobson, par son doigté agile et par le large choix des styles différents de ses créations :
Lien : Best Friend - video
(visité le 14 janvier 2013)
Excellente écoute et…visionnage
Toujours en recherche de la sonorité qui me fera rester +/- 3min30 scotchée près des haut-parleurs, je vous souhaite la bienvenue sur mon blog de critique musicale, qui vous fera partager une à deux fois par mois mes découvertes ou re-découvertes, certes, de manière très subjective...
mardi 15 janvier 2013
lundi 29 octobre 2012
Paradises
Lien : Paradise de Coldplay - clip
(visité le 30 septembre 2012)
Lien : Paradise de Coldplay - paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
C’est en écoutant Coldplay,
je me dis « j’aime bien leur titre Paradise. Mais au fait…il y a beaucoup de titres incluant «Paradise», et parmis eux il y a des excellents ! »
En effet, sur ma liste, je citerai :
Lien : Dark Paradise (2012) interprêté par Lana Del Rey - clip, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
Lien : Gangsta’s Paradise (1995) de Coolio featuring LV - clip, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
Minute culturelle : C’est la reprise façon Coolio de Stevie Wonder « Pastime Paradise » (1976)
Lien : Welcome to Paradise (1992) de Green Day - musique, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
Lien : Another Day In Paradise (1989) de Phil Collins - musique, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
+ l’album Paradise (2002) d’Indochine.
Quand on regarde les paroles d’un peu plus près, on constate que ces musiques citant « le Paradis » et bien…parle justement du contraire :
réel vs rêve, décès, gangster, bidonville, indifférence…
Woow ! Le mot «Paradise» devient alors une utopie, un idéal complètement contraire au « vrai » paradis à des lieux de pouvoir l’atteindre, voire, une espérance dans la misère.
En fait, la sélection ci-dessus est à elle-même un sujet de philosophie.
A part se creuser le cerveau, la recherche de Paradises amène aussi à faire des découvertes
=> coup de cœur pour :
Lien : For The Widows In Paradise, For The Fatherless In Ypsilanti de Sufjan Stevens - musique version acoustique plein air
(visité le 30 septembre 2012)
ou Lien : For The Widows In Paradise, For The Fatherless In Ypsilanti (2003) de Sufjan Stevens - musique version studio
(visité le 29 octobre 2012)
Lien : For The Widows In Paradise, For The Fatherless In Ypsilanti de Sufjan Stevens - paroles
(visité le 30 septembre 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Des Paradises, il en existe à la pelle…
Paradise city - Gun’s and roses
Paradise In me - K’s Choice
Paradise - Sade
Visions of paradise - Mick Jagger
Pimper’s paradise - Bob Marley
Welcome to paradise - Gigi d’Agostino
etc… Alors, quelle est votre liste de Paradises ?
(visité le 30 septembre 2012)
Lien : Paradise de Coldplay - paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
C’est en écoutant Coldplay,
je me dis « j’aime bien leur titre Paradise. Mais au fait…il y a beaucoup de titres incluant «Paradise», et parmis eux il y a des excellents ! »
En effet, sur ma liste, je citerai :
Lien : Dark Paradise (2012) interprêté par Lana Del Rey - clip, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
Lien : Gangsta’s Paradise (1995) de Coolio featuring LV - clip, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
Minute culturelle : C’est la reprise façon Coolio de Stevie Wonder « Pastime Paradise » (1976)
Lien : Welcome to Paradise (1992) de Green Day - musique, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
Lien : Another Day In Paradise (1989) de Phil Collins - musique, paroles et traduction
(visité le 30 septembre 2012)
+ l’album Paradise (2002) d’Indochine.
Quand on regarde les paroles d’un peu plus près, on constate que ces musiques citant « le Paradis » et bien…parle justement du contraire :
réel vs rêve, décès, gangster, bidonville, indifférence…
Woow ! Le mot «Paradise» devient alors une utopie, un idéal complètement contraire au « vrai » paradis à des lieux de pouvoir l’atteindre, voire, une espérance dans la misère.
En fait, la sélection ci-dessus est à elle-même un sujet de philosophie.
A part se creuser le cerveau, la recherche de Paradises amène aussi à faire des découvertes
=> coup de cœur pour :
Lien : For The Widows In Paradise, For The Fatherless In Ypsilanti de Sufjan Stevens - musique version acoustique plein air
(visité le 30 septembre 2012)
ou Lien : For The Widows In Paradise, For The Fatherless In Ypsilanti (2003) de Sufjan Stevens - musique version studio
(visité le 29 octobre 2012)
Lien : For The Widows In Paradise, For The Fatherless In Ypsilanti de Sufjan Stevens - paroles
(visité le 30 septembre 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Des Paradises, il en existe à la pelle…
Paradise city - Gun’s and roses
Paradise In me - K’s Choice
Paradise - Sade
Visions of paradise - Mick Jagger
Pimper’s paradise - Bob Marley
Welcome to paradise - Gigi d’Agostino
etc… Alors, quelle est votre liste de Paradises ?
jeudi 30 août 2012
Amen Birdmen
Amen Birdmen est un jeune groupe français (création en avril/mai 2005 – Lien : biographie Amen Birdmen (pdf) ), pourtant c’est comme s’il existait depuis bien plus.
On est à 10 000 lieux d’une formation qui cherche son style et sa voie.
Non, non, chaque titre créé est prometteur. Et pour dire, Amen Birdmen a toujours été dans la cour des grands :
« Amen Birdmen, ça a commencé comment?
C’est bizarrement parti du crew « French Touch » (ndlr: Mojo, Daft Punk). C’est comme ça qu’on s’est rencontré avec Romain. On a gagné pas mal de concours et fait la bande originale du Transporteur 2 » Icarus « On a joué avec Muse, Linkin Parks, les White Stripes, fait la scène de Bobital avec les Tokio Hotel, Placebo, Marylin Manson. On a 600 heures de rush dans la nature prévues au départ pour un film! »
Lien : Interview de Cyril Bodin par Sniny people
(visité le 29 août 2012)
Au point qu’on est étonné de n’avoir vu la sortie d’un « Accross the Atlantic » (album envisagé ?), du coup ce fut l’EP en 2009 ; et le 10 mars 2010, Amen Birdmen met les 6 tracks de « Battle 79 » en version numérique téléchargeable.
Romance fait planer… Peut-être sans le vouloir, elle exprime à la fois par le son et par l’image l’homme-oiseau. C’est peut-être le titre le plus tranquille, quoique avec toujours un goût rock prononcé ; cela s’explique aussi qu’il rendrait hommage à un ami décédé (propos du chanteur évoqué sur sène) :
Lien : Romance - clip
(visité le 28 août 2012)
Oui, l’une des plus soft, car Amen Birdmen c’est plus proche du hardcor, avec la bouteille de Jack Daniel’s à portée de Cy (par contre jamais le T-shirt - Image : tasteofindie.com )
- Chant : Cy (Cyril Bodin) (2e gauche sur la photo en haut)
- Guitare solo + chœur : RawMan (Romain Séo) (au millieu)
- Guitare rythmique + chœur : Alex DG (à gauche)
- Basse : Nico (Nicolas Bollier) (2e droite)
- Batterie : Ben (Benjamin Delacroix, cf. Watcha, Lussi in the Sky…)/Lawrence Clais (à droite) / Greg
Earthquake est en est d’ailleurs bien plus éloquent, un tremblement de terre à sa hauteur :
intro et riff accrocheurs, électro à la juste dose, pause aux bons moments et voix puissante de Cy.
Lien : Earthquake - clip
(visité le 28 août 2012)
En attendant qu’Amen Birdmen sorte de cette drôle de pénombre, alors qu’ils étaient sur la voie de la lumière, on peut en apprendre plus grâce à :
Lien : http://birdmenstory.blogspot.fr/ (visité le 29 août 2012)
et aux belles photos sur : Lien : huruguen.fr (visité le 29 août 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Ça donne de l'énergie, hein? Excellente écoute
On est à 10 000 lieux d’une formation qui cherche son style et sa voie.
Non, non, chaque titre créé est prometteur. Et pour dire, Amen Birdmen a toujours été dans la cour des grands :
« Amen Birdmen, ça a commencé comment?
C’est bizarrement parti du crew « French Touch » (ndlr: Mojo, Daft Punk). C’est comme ça qu’on s’est rencontré avec Romain. On a gagné pas mal de concours et fait la bande originale du Transporteur 2 » Icarus « On a joué avec Muse, Linkin Parks, les White Stripes, fait la scène de Bobital avec les Tokio Hotel, Placebo, Marylin Manson. On a 600 heures de rush dans la nature prévues au départ pour un film! »
Lien : Interview de Cyril Bodin par Sniny people
(visité le 29 août 2012)
Au point qu’on est étonné de n’avoir vu la sortie d’un « Accross the Atlantic » (album envisagé ?), du coup ce fut l’EP en 2009 ; et le 10 mars 2010, Amen Birdmen met les 6 tracks de « Battle 79 » en version numérique téléchargeable.
Romance fait planer… Peut-être sans le vouloir, elle exprime à la fois par le son et par l’image l’homme-oiseau. C’est peut-être le titre le plus tranquille, quoique avec toujours un goût rock prononcé ; cela s’explique aussi qu’il rendrait hommage à un ami décédé (propos du chanteur évoqué sur sène) :
Lien : Romance - clip
(visité le 28 août 2012)
Oui, l’une des plus soft, car Amen Birdmen c’est plus proche du hardcor, avec la bouteille de Jack Daniel’s à portée de Cy (par contre jamais le T-shirt - Image : tasteofindie.com )
- Chant : Cy (Cyril Bodin) (2e gauche sur la photo en haut)
- Guitare solo + chœur : RawMan (Romain Séo) (au millieu)
- Guitare rythmique + chœur : Alex DG (à gauche)
- Basse : Nico (Nicolas Bollier) (2e droite)
- Batterie : Ben (Benjamin Delacroix, cf. Watcha, Lussi in the Sky…)/Lawrence Clais (à droite) / Greg
Earthquake est en est d’ailleurs bien plus éloquent, un tremblement de terre à sa hauteur :
intro et riff accrocheurs, électro à la juste dose, pause aux bons moments et voix puissante de Cy.
Lien : Earthquake - clip
(visité le 28 août 2012)
En attendant qu’Amen Birdmen sorte de cette drôle de pénombre, alors qu’ils étaient sur la voie de la lumière, on peut en apprendre plus grâce à :
Lien : http://birdmenstory.blogspot.fr/ (visité le 29 août 2012)
et aux belles photos sur : Lien : huruguen.fr (visité le 29 août 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Ça donne de l'énergie, hein? Excellente écoute
lundi 30 juillet 2012
Une chanson pour être encore chantée, à la périphérie de ce monde
Image : http://www.lastfm.fr/music/Perry+Farrell/+images/1656354
Lien : Song Yet to Be Sung - clip
(visité le 20 juillet 2012)
Lien : Song Yet to Be Sung - paroles (avec possibilité de traduction mot à mot en français)
(visité le 20 juillet 2012)
Musique d’ailleurs ? Afro-orient électronique ?
Et pourtant, musique des Etats-Unis...
Perry Farrel a toujours fait figure d’originalité ; profitant de la vague pop-rock alternative des années 80-90 il participe à sa modélisation et fait son son à sa sauce.
Peut-être certains le connaissent mieux sous les noms de groupes tels que Jane’s addictions ou encore Porno for Pyros, et confirmeront alors les propos ci-dessus.
En 2001, Perry Farrel sort son album solo Song Yet to Be Sung.
La chanson issue de ce même album et de même nom est le genre de musique qui, même sans avoir vu le clip, fait transparaître une unicité des peuples et comme porteuse de valeurs.
La multiplicité des instruments sur une rythmique de « tambours », les voix de jeunes chantant à l’unisson en réponse au cri « Song Yet to Be Sung », la polyphonie et les voix additionnelles comme sortant d’une contrée lointaine agissant en éccho, c’est donc ça la secret d’un aspect de fraternité ?
Perry Farrel (Perry = son prénom, et Perry+Farell, son nom de scène, signifie « à la périphérie ») a fait encore plus avec le spectacle associé. La vidéo promotion de la sortie de l’album (en anglais, même si on ne comprend ce qu’il dit) laisse apercevoir le monde ethno-fantastique qu’il a créé, sur des extraits de différents titres :
Lien : vidéo (9min13) de la promotion de l’album solo Song Yet to Be Sung (2001) par Perry Farrel
(visité le 20 juillet 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Je vous donne rendez-vous dans le désert pour danser sur une chanson faite pour être chantée (ou écoutée) encore (et encore).
Lien : Song Yet to Be Sung - clip
(visité le 20 juillet 2012)
Lien : Song Yet to Be Sung - paroles (avec possibilité de traduction mot à mot en français)
(visité le 20 juillet 2012)
Musique d’ailleurs ? Afro-orient électronique ?
Et pourtant, musique des Etats-Unis...
Perry Farrel a toujours fait figure d’originalité ; profitant de la vague pop-rock alternative des années 80-90 il participe à sa modélisation et fait son son à sa sauce.
Peut-être certains le connaissent mieux sous les noms de groupes tels que Jane’s addictions ou encore Porno for Pyros, et confirmeront alors les propos ci-dessus.
En 2001, Perry Farrel sort son album solo Song Yet to Be Sung.
La chanson issue de ce même album et de même nom est le genre de musique qui, même sans avoir vu le clip, fait transparaître une unicité des peuples et comme porteuse de valeurs.
La multiplicité des instruments sur une rythmique de « tambours », les voix de jeunes chantant à l’unisson en réponse au cri « Song Yet to Be Sung », la polyphonie et les voix additionnelles comme sortant d’une contrée lointaine agissant en éccho, c’est donc ça la secret d’un aspect de fraternité ?
Perry Farrel (Perry = son prénom, et Perry+Farell, son nom de scène, signifie « à la périphérie ») a fait encore plus avec le spectacle associé. La vidéo promotion de la sortie de l’album (en anglais, même si on ne comprend ce qu’il dit) laisse apercevoir le monde ethno-fantastique qu’il a créé, sur des extraits de différents titres :
Lien : vidéo (9min13) de la promotion de l’album solo Song Yet to Be Sung (2001) par Perry Farrel
(visité le 20 juillet 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Je vous donne rendez-vous dans le désert pour danser sur une chanson faite pour être chantée (ou écoutée) encore (et encore).
jeudi 31 mai 2012
Les Binuchards
« Les Binuchards » ça sonne…charentais. Connaît pas ? Mais si, les Charentes : entre Bretagne et Pyrénées ! On reconnaît facilement ça sent le Cognac, le Pineau, les cagouilles et les huîtres à plein nez :
Lien : Entre Bretagne et Pyrénée - musique + clip
(visité le 28 mai 2012)
Toutes les paroles accessibles sur leur site http://lesbinuchards.free.fr
Leur répertoire revendique leur localité, à travers l’humour un peu moqueur («Qui c’est qu’à foutu du cananbis dans mon maïs», «Les culs salés») sur du rock festif un peu cajun, un peu Soldat Louis et LouiseAttack. En effet, les Binuchards auraient presque pu s’appeler les Louis ☺, en fait, le nom du groupe tire son origine de Jacques Primaut surnomé «Binuche», chanteur multi-musicien au pantalon rayé et initiateur du groupe.
Les Binuchs se sont de joyeux lurons qu’on écoute lors des festivités d’été, où on apprend à faire une cagouille avec ses mains (ça y est, vous savez maintenant ce qu’est une Cagouille ?) et y entendre « Copaiinnnnns ! » (ça, c’est le fan)
Outre régionales, ce sont aussi des particularités bien à eux:
tel un solo de guittare avec les dents par JC le guitariste, accompagné de Jean-Marie infatigable à la batterie et Richard chœur de basse (au chœur et à la basse),
une proximité et une joie communicative avec le public,
ou encore leur 6 albums + 2 live auto-produits !
- Ô l’a buffé (2001)
- Le Trophée (2003)
- La part des Anges (2004)
- Etes vous là (2005) live
- Une vie (2007)
- C le Joyeux Bordel (2009)
- Live aux Arènes (2010 ) live
- Un bon département (2012)
Les Binuchards l’explique d’ailleurs dans l’interview ci-dessous ; faut pas compter sur les maisons de disque, c’est l’engouement du public qui les guide à la production et sur la scène :
Lien : Reportage France 3
(visité le 28 mai 2012)
Régional, régional, certes, leur tournée et leurs thèmes le sont…mais y’en a une de chanson qui est bien unanimement nationale :
Lien : La route à 3 grammes - musique + paroles
(visité le 28 mai 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Quant est-ce qu’olé voyent aux Franco ? Baaa, au moins, on est sûr de tombé sur un de leur concert, bonne franquette, lors d’un passage…dans les Charentes.
Lien : Entre Bretagne et Pyrénée - musique + clip
(visité le 28 mai 2012)
Toutes les paroles accessibles sur leur site http://lesbinuchards.free.fr
Leur répertoire revendique leur localité, à travers l’humour un peu moqueur («Qui c’est qu’à foutu du cananbis dans mon maïs», «Les culs salés») sur du rock festif un peu cajun, un peu Soldat Louis et LouiseAttack. En effet, les Binuchards auraient presque pu s’appeler les Louis ☺, en fait, le nom du groupe tire son origine de Jacques Primaut surnomé «Binuche», chanteur multi-musicien au pantalon rayé et initiateur du groupe.
Les Binuchs se sont de joyeux lurons qu’on écoute lors des festivités d’été, où on apprend à faire une cagouille avec ses mains (ça y est, vous savez maintenant ce qu’est une Cagouille ?) et y entendre « Copaiinnnnns ! » (ça, c’est le fan)
Outre régionales, ce sont aussi des particularités bien à eux:
tel un solo de guittare avec les dents par JC le guitariste, accompagné de Jean-Marie infatigable à la batterie et Richard chœur de basse (au chœur et à la basse),
une proximité et une joie communicative avec le public,
ou encore leur 6 albums + 2 live auto-produits !
- Ô l’a buffé (2001)
- Le Trophée (2003)
- La part des Anges (2004)
- Etes vous là (2005) live
- Une vie (2007)
- C le Joyeux Bordel (2009)
- Live aux Arènes (2010 ) live
- Un bon département (2012)
Les Binuchards l’explique d’ailleurs dans l’interview ci-dessous ; faut pas compter sur les maisons de disque, c’est l’engouement du public qui les guide à la production et sur la scène :
Lien : Reportage France 3
(visité le 28 mai 2012)
Régional, régional, certes, leur tournée et leurs thèmes le sont…mais y’en a une de chanson qui est bien unanimement nationale :
Lien : La route à 3 grammes - musique + paroles
(visité le 28 mai 2012)
Ma devise :
Je rappelle qu’avant de pouvoir juger une nouvelle musique, il est nécessaire de s’habituer à la nouveauté et donc de l’écouter au minimum 3 fois…
Tous commentaires sont bienvenus après écoute.
Quant est-ce qu’olé voyent aux Franco ? Baaa, au moins, on est sûr de tombé sur un de leur concert, bonne franquette, lors d’un passage…dans les Charentes.
Inscription à :
Articles (Atom)